La guerre est toujours accompagnée de son cortège de souffrances et de misère. La victoire a un coût, même pour le vainqueur.
Une grande victoire ne s'obtient jamais sans sacrifices : ceux des blessés et des prisonniers de guerre, par exemple.
C'est même pire que ça. Il y a là-bas des Élyséens retenus captifs par nos ennemis.
J'ose à peine imaginer les souffrances qu'ils doivent endurer aux mains des Asmodiens ou des Balaurs.
Je vous confie la mission d'aller leur porter secours, [%username]. Parlez au centurion [%dic:STR_DIC_N_Nereus] pour en apprendre plus. Vos frères de sang comptent sur vous !
Le Général de brigade a confiance en vous, [%username].
Mais même pour un[f:"une"] Daeva de votre trempe, cette mission n'aura rien d'un jeu d'enfant. Toutefois, la vie de nos soldats prisonniers en dépend. Je suppose que le jeu en vaut la chandelle.
Nous avons monté une escouade de secours, voyez-vous, mais elle n'est pour l'instant parvenue à rien.
Les captifs sont retenus sur l'Ile de la Disgrâce, dans l'Archipel de Soufre. Comme vous pouvez vous y attendre, ils sont sous haute surveillance.
Toutefois, nous avons un contact dans la région. Rendez-vous sur l'Ile des Racines, dans l'Archipel de Soufre, et parlez à [%dic:STR_DIC_N_Dactyl]. Il devrait en savoir plus sur les prisonniers élyséens.
Recueillez toutes les informations qu'il peut vous donner et partez secourir les prisonniers !
Qu'est-ce qui vous amène sur l'Ile des Racines ?
Vous venez étudier la faune locale, comme les Oculazens de soufre ou les Pierres flottantes volcaniques ?
Je vois. Je me demandais combien de temps il leur faudrait pour trouver un[f:"une"] Daeva capable d'entreprendre cette mission.
Comme vous le savez peut-être, les [plur][%dic:STR_DIC_N_Ab1_1141_Light_28_An] sont retenus sur l'Ile de la Disgrâce, située au sud-est de l'Archipel de Soufre. Des patrouilleurs la sillonnent de toute part.
Je ne quitte jamais cette île, j'ignore donc qui contrôle la Forteresse de Soufre, à l'heure actuelle. Si elle est aux mains des Légions élyséennes, les prisonniers auront été libérés. Si ce sont les Asmodiens ou les Balaurs qui la tiennent, vous devrez accomplir votre mission.
Vous êtes venu[f:"venue"] nous sauver !
Merci beaucoup.
Nous avons essayé de nous en sortir seuls, mais ce n'est pas une mince affaire.
Nos armes nous ayant été retirées et au vu du nombre de gardes, fuir paraît difficile.
Et c'est grâce à vous, [%username].
Je connais un moyen rapide de quitter l'Archipel de Soufre.
Au-dessus du camp, se trouve une zone magique de transport. Si nous parvenons à nous y rendre, nous devrions pouvoir nous enfuir.
[%username] !
Qu'est-il advenu des prisonniers de l'Ile de la Disgrâce ? Les avez-vous secourus ?
Beau travail.
J'ai toujours eu le coeur lourd en pensant à ces prisonniers, [%username], mais grâce à vous, ce problème est enfin résolu.
Et j'ai la certitude qu'ils vous en seront éternellement reconnaissants.
Parler à [%dic:STR_DIC_N_Sakmis].
Parler à [%dic:STR_DIC_N_Nereus].
Parler à [%dic:STR_DIC_N_Dactyl].
Trouver les [plur][%dic:STR_DIC_N_Ab1_1141_Light_28_An].
Escorter les [plur][%dic:STR_DIC_N_Ab1_1141_Light_28_An] jusqu'à la [%dic:STR_DIC_N_magic_circle].
Faire votre rapport à [%dic:STR_DIC_N_Nereus].
Objectif : des soldats élyséens sont retenus prisonniers sur l'Ile de la Disgrâce, dans l'Archipel de Soufre. Parlez à Sakmis pour obtenir plus d'informations, et allez les secourir.
Sakmis vous a dit que les Élyséens avaient remporté de nombreuses victoires à Reshanta, mais que certains soldats s'étaient fait capturer par l'ennemi.
Nereus vous a dit qu'une escouade de secours avait été envoyée pour libérer les prisonniers, mais qu'elle n'était parvenue à rien. Il vous a envoyé[f:"envoyée"] dans l'Archipel de Soufre pour y interroger Dactyl.
Conformément aux instructions de Dactyl, vous vous êtes rendu[f:"rendue"] sur place et avez libéré les prisonniers. Vous les avez escortés jusqu'à une zone magique et l'escouade de secours s'est chargée de les ramener à la Forteresse de Teminon.
À votre retour, Nereus vous a remercié[f:"remerciée"] de lui avoir ôté ce poids du cœur.