Mille mercis pour vos bons offices.
Mais alors, ma quête n'est pas encore accomplie, Élyséen[f:"Élyséenne"].
Et je dois une fois encore recourir à votre bienveillance. Je ne saurais trouver le repos tant qu'un ultime problème n'aura été résolu.
Je vous supplie céans d'aller estourbir [%dic:STR_DIC_E_IDCatacombsN_DrakanFiDayNmd_55_Ah], capitaine des Subordonnés de Tiamat.
Seul son trépas satisfera aux termes du contrat qui me lie à Aile-Ouragan.
M'accorderez-vous cette faveur ?
Prenez garde, Élyséen[f:"Élyséenne"]. Selon le cycle du jour et de la nuit, [%dic:STR_DIC_E_IDCatacombsN_DrakanFiDayNmd_55_Ah] peut revêtir deux formes.
Drakan la nuit, mort-vivant le jour. Telle est la malédiction de Vehala.
Peu importe sous quelle forme vous choisirez de l'occire... Vehala doit périr.
Est-ce l'effroi qui retient votre bras ?
Ma reconnaissance vous est certes acquise, mais tel barguignage vous prive de toute autre forme de récompense.
Si vous revenez à de meilleures dispositions, vous saurez où me trouver.
Avez-vous estourbi Vehala le maudit ?
Adoncques, quelles nouvelles m'apportez-vous ?...
Ma mission touche enfin à son terme ! Je vais enfin pouvoir reposer avec mes pairs parmi les étoiles... en attendant le retour de mon maître.
Merci, Élyséen[f:"Élyséenne"]. Voilà le Parchemin de tranquillité promis. Adjoint à celui du Brûle-encens d'âme, son pouvoir vous permettra d'atteindre un niveau d'existence supérieur.
Éliminer [%dic:STR_DIC_E_IDCatacombsN_DrakanFiDayNmd_55_Ah] ([%2]/1).
Parler à [%dic:STR_DIC_N_Bhemah].
Tuer Vehala le maudit pour Bhemah, qui vous a demandé de lui accorder cette dernière faveur.
Bhemah vous a demandé de tuer Vehala le maudit, chef des Subordonnés de Tiamat.
Il vous a expliqué que Vehala apparaissait tantôt sous la forme d'une créature vivante, tantôt sous forme de mort-vivant, mais que cela ne faisait aucune différence tant que vous le tuiez.
Vous avez fait ce que Bhemah attendait de vous, et il vous a remis un Parchemin de tranquillité en récompense.