Je suis Pépé de la troupe élyséenne.

Je suis toujours occupé avec les tâches de Portis.

Si je monte en grade, je n'aurai sûrement plus besoin de faire cela.

Je m'accroche à cette idée et je serre les dents.

Je suis Pépé de la troupe élyséenne.

Je passe mon temps à réparer les bêtises de Portis.

Le jour où je serai promu, je n'aurai plus à m'en soucier.

Cette pensée me donne de l'espoir.

La conversation se termine.