Que c'est bon, de voir enfin le visage d'un compatriote... Le sang pour le sang !
J'ai tant attendu que l'on vienne à mon secours... Mais je n'ai pas attendu en vain.
Vivre au milieu de ces vers luisants décadents d'Élyséens... si arrogants... si cruels...
J'ai honte de m'être fait prendre, mais il y a au moins une chose dont je n'aurais pas à rougir : je ne leur ai rien dit !