Bien le bonjour, Daeva !

Ce doit être un des endroits les plus délicats à garder de toute la ville.

En quoi est-ce si difficile ? Pas de chance. Au revoir.

Je me trouve juste au croisement des odeurs alléchantes de l'Atelier de cuisine et des effluves infectes de l'Atelier d'alchimie.

Selon la direction du vent, j'ai tantôt envie de dévorer les mets les plus fins, tantôt de vomir jusqu'à cracher ma bile.

Ça n'a pas l'air enviable !

Vous êtes ici pour une livraison ? Une lettre, peut-être ?

Qu'est-ce qui vous fait dire ça ? Je donne ma langue au chat.

J'ai un succès certain auprès des femmes, [%username]. J'ai droit aux oeillades de toutes les filles qui croisent mon chemin.

Même les gardes avec lesquels je travaille succombent à mon charme. Enfin... les gardes au féminin.

Si vous le dites. Je préférerais que vous vous absteniez de m'en parler.

Mais je me suis mis dans une situation impossible avec [%dic:STR_DIC_N_Brunehilt] et [%dic:STR_DIC_N_Gundrun]. Elles me courtisent depuis un moment.

Elles sont toutes les deux folles de moi, alors je fais de mon mieux pour me couper en deux, mais dernièrement, elles commencent à se montrer jalouses.

Je ne serai jamais l'homme d'une seule femme. Ce serait injuste pour le reste de la gente féminine.

Oh, regardez, un arbre...