Salutations, Daeva.

Sans cette vermine d'Aile-Ouragan, la vie m'habiterait encore.

Mais peu me chaut mon sort funeste... Fors mon honneur perdu, nulle peine ne me tourmente.

Mon ire ne saurait s'apaiser qu'une fois ma vengeance accomplie. Me voici, Aile-Ouragan, tu vas contempler l'ampleur de mon courroux...

Voilà qui pourrait m'être utile.